6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 15:28
Celui qui regarde vers Pâques
Porte sa croix
Comme une femme porte
son enfant car jésus fait de sa croix une naissance.
Il porte sa croix comme un arbre porte du fruit
Car jésus fait du bois mort un printemps.
Il porte sa croix comme chacun porte son nom
Car jésus fait de sa croix le nom de son amour.
Il porte sa croix comme un livre porte un titre,
Car jésus fait de la croix le titre des chrétiens.
Il porte sa croix comme un facteur porte le courrier,
Car Jésus fait de la croix la bonne nouvelle que mort est morte.
Il porte la croix comme on porte la tête haute,
Car, avec sa croix, Jésus ressuscite la dignité de l’homme.
Il porte sa croix comme on porte la contestation,
Car Jésus fait de la croix un signe de contradiction.
 
Jean Debruyne
groupe Exo, dans son album "éclats 5"

Jeudi Saint

 

24 mars

 

Le Jeudi saint est le jour où le Christ a institué l’Eucharistie lors du repas (Cène) de la Pâque, la veille de sa mort sur la croix. Au cours de la messe célébrée avec solennité, on répète le geste du lavement des pieds.

A l’issue de l’Eucharistie, le prêtre dépose le Saint Sacrement (les hosties consacrées) sur un reposoir (autel décoré) afin que les fidèles puissent adorer le corps du Christ.

 

Vendredi saint

25 mars
 
 

Vendredi Saint est le jour où l’Église commémore la mort du Christ sur une croix. Afin de s’unir aux souffrances du Christ de nombreux chemins de croix sont proposés à l’intérieur ou à l’extérieur des églises.

 

L’Eucharistie n’est pas célébrée ce jour puisque le Christ est mort. Cependant, les croyants, qui continuent à avoir besoin du Corps de Christ pour s’unir à lui, peuvent communier avec les hosties consacrées le jeudi saint.

 

 

Vigile Pascale et Pâques

26 mars au 27 mars
 
 

La vigile pascale est la veillée nocturne durant laquelle est célébrée la résurrection du Christ la nuit du samedi au dimanche. Pendant cette célébration, les adultes demandant le baptême (les catéchumènes) sont baptisés.

La vigile pascale est la veillée nocturne durant laquelle est célébrée la résurrection du Christ la nuit du samedi au dimanche. C’est la « Mère de toutes les liturgies », le cœur et le sommet de l’année liturgique. Elle débute vers 21 ou 22 heures parfois par un grand feu, lumière du Ressuscité partagée entre tous.

Pendant cette célébration, les catholiques renouvellent les promesses de leur baptême et de nombreux baptêmes sont célébrés, et en particulier des baptêmes d’adultes (appelés catéchumènes).

Pâques est la principale fête religieuse chrétienne qui célèbre la résurrection de Jésus. A l’origine ce mot était utilisé pour désigner la fête juive qui commémore la sortie d’Égypte des Hébreux (La Pâque). C’est durant cette fête qui dure 8 jours qu’eût lieu la résurrection du Christ. Par sa mort et sa résurrection, s’accomplit pleinement le dessein de Salut de Dieu. C’est le fondement absolu de la foi chrétienne. Comme le dit Saint Paul : « Si le Christ n’est pas ressuscité notre prédication est vide et vide aussi votre foi » (1 Corinthiens 15, 14) L’adjectif pascal(e) se rapporte à la mort et à la résurrection du Christ : cierge pascal, vigile pascale...

 

Pâques 2016

Livret de carême proposé par la paroisse ND de l'Espérance

 

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3 février 2016 3 03 /02 /février /2016 10:22

« C’est la miséricorde que je veux, et non les sacrifices » (Mt 9,13).
Les œuvres de miséricorde dans le parcours jubilaire

Message du pape François pour le Carême en 2016

1. Marie, icône d’une Église qui évangélise parce qu’elle a été évangélisée

Dans la Bulle d’indiction du Jubilé, j’ai invité à faire en sorte que « le Carême de cette Année Jubilaire [soit] vécu plus intensément comme un temps fort pour célébrer et expérimenter la miséricorde de Dieu » (Misericordiae vultus, n. 17). Par le rappel de l’écoute de la Parole de Dieu et l’initiative « 24 heures pour le Seigneur », j’ai voulu souligner la primauté de l’écoute priante de la Parole, plus particulièrement de la Parole prophétique. La miséricorde de Dieu est certes une annonce faite au monde : cependant chaque chrétien est appelé à en faire l’expérience personnellement. C’est pourquoi, en ce temps de Carême, j’enverrai les Missionnaires de la Miséricorde afin qu’ils soient pour tous un signe concret de la proximité et du pardon de Dieu.

Parce qu’elle a accueilli la Bonne Nouvelle annoncée par l’archange Gabriel, Marie chante prophétiquement dans son Magnificat la miséricorde par laquelle Dieu l’a choisie. La Vierge de Nazareth, promise comme épouse à Joseph, devient ainsi l’icône parfaite de l’Église qui évangélise car elle a été et demeure constamment évangélisée par l’œuvre de l’Esprit Saint qui a fécondé son sein virginal. Dans la tradition prophétique – et déjà au niveau étymologique – la miséricorde est étroitement liée aux entrailles maternelles (rahamim) et à une bonté généreuse, fidèle et compatissante (hesed) qui s’exerce dans les relations conjugales et parentales.

Message du pape François pour le Carême en 2016

2. L’alliance de Dieu avec les hommes : une histoire de miséricorde

Le mystère de la miséricorde divine se dévoile au cours de l’histoire de l’alliance entre Dieu et son peuple Israël. Dieu, en effet, se montre toujours riche en miséricorde, prêt à reverser sur lui en toutes circonstances une tendresse et une compassion viscérales, particulièrement dans les moments les plus dramatiques, lorsque l’infidélité brise le lien du pacte et que l’alliance requiert d’être ratifiée de façon plus stable dans la justice et dans la vérité. Nous nous trouvons ici face à un véritable drame d’amour où Dieu joue le rôle du père et du mari trompé, et Israël celui du fils ou de la fille, et de l’épouse infidèles. Ce sont les images familières, comme nous le voyons avec Osée (cf. Os 1-2), qui expriment jusqu’à quel point Dieu veut se lier à son peuple.

Ce drame d’amour atteint son point culminant dans le Fils qui s’est fait homme. Dieu répand en lui sa miséricorde sans limites, au point d’en faire la « Miséricorde incarnée » (Misericordiae Vultus, n. 8). En tant qu’homme, Jésus de Nazareth est fils d’Israël dans le plein sens du terme. Il l’est au point d’incarner cette écoute parfaite de Dieu demandée à tout Juif par le Shemà qui constitue, aujourd’hui encore, le cœur de l’alliance de Dieu avec Israël : « Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces » (Dt 6, 4-5). Le Fils de Dieu est l’Époux qui met tout en œuvre pour conquérir l’amour de son Épouse. Il lui est lié par son amour inconditionnel qui se manifeste dans les noces éternelles avec elle.

Ceci constitue le cœur vibrant du kérygme apostolique où la miséricorde divine tient une place centrale et fondamentale. Il est « la beauté de l’amour salvifique de Dieu manifesté en Jésus-Christ, mort et ressuscité » (Exhort. apost. Evangelii gaudium, n. 36), cette première annonce « que l’on doit toujours écouter de nouveau de différentes façons, et que l’on doit toujours annoncer de nouveau durant la catéchèse » (Ibid., n. 164).La miséricorde alors « illustre le comportement de Dieu envers le pécheur, lui offrant une nouvelle possibilité de se repentir, de se convertir et de croire » (Misericordiae Vultus, n. 21), restaurant vraiment ainsi la relation avec Lui. En Jésus Crucifié, Dieu veut rejoindre l’homme pécheur jusque dans son éloignement le plus extrême, précisément là où il s’est égaré et éloigné de Lui. Et ceci, il le fait dans l’espoir de réussir finalement à toucher le cœur endurci de son Épouse.

Message du pape François pour le Carême en 2016

3. Les œuvres de miséricorde

La miséricorde de Dieu transforme le cœur de l’homme et lui fait expérimenter un amour fidèle qui le rend capable d’être, à son tour, miséricordieux. C’est à chaque fois un miracle que la miséricorde divine puisse se répandre dans la vie de chacun de nous, en nous incitant à l’amour du prochain et en suscitant ce que la tradition de l’Église nomme les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles. Elles nous rappellent que notre foi se traduit par des actes concrets et quotidiens, destinés à aider notre prochain corporellement et spirituellement, et sur lesquels nous serons jugés : le nourrir, le visiter, le réconforter, l’éduquer. C’est pourquoi j’ai souhaité que « le peuple chrétien réfléchisse durant le Jubilé sur les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles. Ce sera une façon de réveiller notre conscience souvent endormie face au drame de la pauvreté, et de pénétrer toujours davantage le cœur de l’Évangile, où les pauvres sont les destinataires privilégiés de la miséricorde divine » (Ibid., n. 15). Dans la personne du pauvre, en effet, la chair du Christ « devient de nouveau visible en tant que corps torturé, blessé, flagellé, affamé, égaré… pour être reconnu par nous, touché et assisté avec soin » (Ibid.). Inouï et scandaleux mystère qui prolonge dans l’Histoire la souffrance de l’Agneau innocent, buisson ardent brûlant d’un amour gratuit, et devant lequel nous ne pouvons, à la suite de Moïse, qu’ôter nos sandales (cf. Ex 3,5) ; et ceci plus encore quand ce pauvre est notre frère ou notre sœur en Christ qui souffre à cause de sa foi.

Face à cet amour, fort comme la mort (cf. Ct 8,6), le pauvre le plus misérable est celui qui n’accepte pas de se reconnaître comme tel. Il croit être riche mais, en réalité, il est le plus pauvre des pauvres. Et s’il est tel, c’est parce qu’il est esclave du péché qui le pousse à user de la richesse et du pouvoir non pas pour servir Dieu et les autres, mais pour étouffer en lui l’intime conviction de n’être, lui aussi, rien d’autre qu’un pauvre mendiant. D’autant plus grands sont le pouvoir et les richesses dont il dispose, d’autant plus grand est le risque que cet aveuglement devienne mensonger. Il en vient à ne même plus vouloir voir le pauvre Lazare qui mendie à la porte de sa maison (cf. Lc 16, 20-21), figure du Christ qui, dans les pauvres, mendie notre conversion. Lazare est cette opportunité de nous convertir que Dieu nous offre et que peut-être nous ne voyons pas. Cet aveuglement est accompagné d’un délire orgueilleux de toute-puissance, dans lequel résonne, de manière sinistre, ce démoniaque « vous serez comme des dieux » (Gn 3,5), qui est à la racine de tout péché. Un tel délire peut également devenir un phénomène social et politique, comme l’ont montré les totalitarismes du XXe siècle, et comme le montrent actuellement les idéologies de la pensée unique et celles de la technoscience qui prétendent réduire Dieu à l’insignifiance et les hommes à des masses qu’on peut manipuler. Ceci, de nos jours, peut être également illustré par les structures de péché liées à un modèle erroné de développement fondé sur l’idolâtrie de l’argent qui rend indifférentes au destin des pauvres les personnes et les sociétés les plus riches, qui leur ferment les portes, refusant même de les voir.

 

Message du pape François pour le Carême en 2016

Pour tous, le Carême de cette Année jubilaire est donc un temps favorable qui permet finalement de sortir de notre aliénation existentielle grâce à l’écoute de la Parole et aux œuvres de miséricorde. Si à travers les œuvres corporelles nous touchons la chair du Christ dans nos frères et nos sœurs qui ont besoin d’être nourris, vêtus, hébergés, visités, les œuvres spirituelles, quant à elles, – conseiller, enseigner, pardonner, avertir, prier – touchent plus directement notre condition de pécheurs. C’est pourquoi les œuvres corporelles et les œuvres spirituelles ne doivent jamais être séparées. En effet, c’est justement en touchant la chair de Jésus Crucifié dans le plus nécessiteux que le pécheur peut recevoir en don la conscience de ne se savoir lui-même rien d’autre qu’un pauvre mendiant. Grâce à cette voie, « les hommes au cœur superbe », « les puissants » et « les riches », dont parle le Magnificat ont la possibilité de reconnaître qu’ils sont, eux aussi, aimés de façon imméritée par le Christ Crucifié, mort et ressuscité également pour eux. Cet amour constitue la seule réponse à cette soif de bonheur et d’amour infinis que l’homme croit à tort pouvoir combler au moyen des idoles du savoir, du pouvoir et de l’avoir. Mais il existe toujours le danger qu’à cause d’une fermeture toujours plus hermétique à l’égard du Christ, qui dans la personne du pauvre continue à frapper à la porte de leur cœur, les hommes au cœur superbe, les riches et les puissants finissent par se condamner eux-mêmes à sombrer dans cet abîme éternel de solitude qu’est l’enfer. C’est alors que résonnent à nouveau, pour eux comme pour nous tous, les paroles ardentes d’Abraham : « Ils ont Moïse et les Prophètes, qu’ils les écoutent ! » (Lc 16,29). Cette écoute agissante nous préparera le mieux à fêter la victoire définitive sur le péché et sur la mort de l’Epoux qui est désormais ressuscité, et qui désire purifier sa future Épouse dans l’attente de son retour.

Ne laissons pas passer en vain ce temps de Carême favorable à la conversion ! Nous le demandons par l’intercession maternelle de la Vierge Marie, qui, la première, face à la grandeur de la miséricorde divine dont elle a bénéficié gratuitement, a reconnu sa propre petitesse (cf. Lc 1,48) en se reconnaissant comme l’humble Servante du Seigneur (cf. Lc 1,38).

Du Vatican,

François

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12 décembre 2015 6 12 /12 /décembre /2015 10:52
 
 
 
 

« Le Verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous » (Jn 1, 14).

C’est dans ce monde de terreur, de violence et de mort que Jésus, le Fils de Dieu a planté sa tente. Le Seigneur passe dans notre vie ébranlée par des événements tragiques. Il vient là où soudain la mort jaillit.

Que peuvent dire les chrétiens sur ce qui s’est passé le 7 janvier et le 13 novembre derniers ? Que peut faire l’Église ? Nos mots sont parfois si pauvres, nos actions de paix et de fraternité si petites et tant de fois anéanties.

Notre premier devoir est de compatir envers ceux qui ont été touchés par les attentats.

Nous pouvons ensuite prier : « Dieu de paix, apporte ta paix à notre monde violent : la paix dans le cœur de tous les hommes, la paix entre les nations de la terre. Fortifie-nous dans l’espérance et donne-nous la sagesse pour œuvrer inlassablement pour un monde de justice et de paix. »

Il nous faut dire ensuite que nous croyons en un Dieu qui nous accompagne dans la détresse et non en un Dieu qui punit et anéantit les pécheurs : « Je ne ne prends pas plaisir à la mort de qui que ce soit, oracle du Seigneur. Convertissez-vous et vivez ! » (Ez 18, 32).

Le risque est toujours de tomber dans la conception de ceux qui sèment haine, terreur et division en mettant Dieu au service de leurs idées et de leurs décisions. Cette instrumentalisation de Dieu est inadmissible. Ce n’est pas en ce Dieu que les chrétiens croient. Et si le mal répond au mal, quand le mal finira-t-il ?

« Le Verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous » (Jn 1, 14).

Le Christ est venu planter sa croix et sa victoire au cœur de nos vies. L’hymne du Vexilla Regis écrite par le poète chrétien Venance Fortunat, évêque de Poitiers, et chantée pour la première fois le 19 novembre 569 peut nous servir de prière en ces temps difficiles. Pendant les guerres de Vendée, c’était l’hymne que chantaient les vendéens avant la bataille, en particulier la strophe « Ô crux ave, spes unica :

Je te salue, ô Croix, seul espoir des vivants
En ces jours douloureux de larmes s’abreuvant,
Augmente aux cœurs des bons l’immortelle justice,
Et pardonne aux pécheurs leur mortelle malice. »

La parole que l’Église peut dire n’est même pas une parole (devant l’horreur, le mieux est de se taire), mais un signe : la croix. Dieu dépose sa vie sur la croix, instrument de supplice transfiguré par la vie du Christ.

La croix est la table de l’eucharistie où Dieu dépose la coupe du salut.

La croix et la crèche où Jésus naît se rejoignent. « De la crèche au crucifiement, Dieu nous livre un profond mystère. De la crèche au crucifiement Dieu nous aime inlassablement » (Chant de Noël Il est né le divin enfant).

Je souhaite que Noël soit cette année, pour les croyants et les non-croyants un moment d’espérance, de bonheur passé en famille, de lumière apaisante alors que nous sommes touchés par des événements dramatiques. « Le Verbe était la vraie lumière qui, en venant dans le monde, illumine tout homme » (Jn 1, 9).

Que le Dieu de la paix vienne habiter nos cœurs ! 


Agen, le 8 décembre 2015

Mgr Hubert HERBRETEAU
Évêque d’Agen

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Publié par paroisses du 47
17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 19:29

Quand on attend quelqu’un que l’on aime bien, que l’on n’a pas vu depuis longtemps, on est heureux, on est impatient, on sait que lui aussi se réjouit de venir... On veut alors que la maison soit belle, on fait le ménage pour qu’elle soit resplendissante, on prépare un bon repas, on décore la table, …

Ce temps de l’Avent, c’est un peu comme si on nettoyait les vitres de son coeur, on vidait la poubelle des grimaces et des caprices, on aspirait les poussières des disputes. C’est comme si on mettait un bouquet de mercis, on préparait un gâteau de sourires,… Comme si l’on dépoussiérait en nous ce grain d’amour déposé par Dieu pour qu’il puisse être illuminé par la paix, la joie et l’amour de Jésus à Noël !

Aussi, durant ce temps de l’Avent, nous pouvons apporter plus de joie, plus de sourire autour de nous, et nous pouvons aussi en recevoir plein !

Nous pouvons oublier les grimaces, les disputes et les caprices. Partager déjà cet amour que Dieu a mis en nous, pour qu’il soit encore plus grand à Noël.

Le temps de l’Avent
Le temps de l’Avent
Le temps de l’Avent
Le temps de l’Avent
Le temps de l’Avent

L'agenda pour nos enfants :

 

des activités à découvrir
 

Clique sur les Dates !

Le temps de l’Avent

Le calendrier de l’ Avent
des bergers et des bergères

7 pages à découvrir !


Ce calendrier a été conçu par l’équipe d’éveil à la foi de Ste Blandine du Fleuve, à partir des dessins réalisés pour le journal Cap P’tit Vent !

Dans ce document vous trouverez :


- Un visuel présentant le calendrier de l’Avent.
      •Ce calendrier de l’Avent est à colorier par l’enfant.
      •Le principe est de faire glisser chaque jour un petit personnage
(berger ou bergère) vers la crèche. La crèche est cachée derrière un volet. Le dernier jour, l’enfant ouvre le volet et découvre le tableau de la crèche tout en couleur.


- Des conseils de montage (page 3).


- Un livret pour accompagner l’enfant sur ce chemin de l’Avent tout simple, grâce à une prière, un chant,… Pour cela, imprimer le feuillet page 4 et le plier en 4.


- Sur les deux dernières pages : le modèle de calendrier de l’Avent à imprimer et découper.

 

Télécharge-le vite ci-dessous !

 

Télécharge le Calendrier de l'Avent

Le temps de l’Avent
Une étoile au rythme de l’Avent :

Cap P’tit vent ( à télécharger ci-dessous )

 

Pour rythmer le temps de l’Avent, pour attendre cette belle fête de Noël,
il y a une tradition, celle du calendrier de l’Avent.

Voici une idée qui s’en inspire : décorer, au fil de ce temps,
une étoile qui resplendira le jour de Noël !

Chaque jour, chaque semaine, ou à un rythme différent,
on choisit un « cœur » sur lequel est marqué ou dessiné une parole,
une attitude pour la journée...

On colle ce cœur sur la grande étoile, au centre de laquelle
on viendra coller, le jour de Noël, le cœur
représentant la naissance de Jésus .

 

Télécharge l'étoile de l'Avent ci-dessous :

Télécharge vite l'étoile de l'Avent !

Merci à Isabelle... elle se reconnaitra !
Jean-Philippe.

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Publié par Jean-Phi
9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 20:27

"D'une rive à l'Autre" tel était le thème retenu
pour ce rassemblement "Toussaint 2015"
organisé par les Aumôneries
de l'Enseignement Public et de l'Enseignement Catholique.

 

C'était la quatrième édition après Saintes en 2006,
Brive la Gaillarde en 2009,
et Libourne en 2012.


 

Une trentaine de jeunes de nos aumôneries de lycées
ont rejoint
plus de 500 jeunes d’aquitaines
pour ce très beau temps fort de vie en Eglise.




Tous ont eu la joie de découvrir Bayonne,  
de prier ensemble,
d’entendre les enseignements des évêques de la région,
de jouer aux jeux de force basque et de participer aux temps festifs
 ( merci aux jeunes de St Caprais pour leur choré !) !!


   

Merci à chacun pour sa participation, son enthousiasme ….
Et si on partait aux JMJ à Cracovie ?


Isabelle Fanton

Bayonne 2015Bayonne 2015
Bayonne 2015
Bayonne 2015Bayonne 2015Bayonne 2015

Bayonne 2015

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Publié par paroisses
12 septembre 2015 6 12 /09 /septembre /2015 09:51
C'est la rentrée !

La rentrée scolaire est un moment important au catéchisme.

Les invitations faites aux parents, le bouche à oreille entre les familles, les témoignages des enfants sont autant d’occasions de montrer que le « caté » n’est pas une activité comme les autres pour ces jeunes dont les emplois du temps sont souvent déjà bien chargés.

Les propositions sont structurées entre l’éveil à la foi pour les 3-7 ans et la catéchèse avec des rencontres généralement hebdomadaires pour les 8-11 ans. Dans certaines paroisses, une catéchèse familiale est également proposée : parents et enfants bénéficient alors de rencontres communes, de temps de dialogue et de prière privilégiés… Dès la sixième, le parcours se poursuit à travers les propositions d’aumôneries ou en collège catholique.

 

Permettre à un enfant d’aller au catéchisme, c’est lui offrir de rencontrer Jésus et de découvrir qu’il est aimé de Dieu. La rentrée du caté donne aussi l’occasion à des parents parfois éloignés de la vie paroissiale de rencontrer une communauté vivante et accueillante. Faisons preuve « d’audace missionnaire » pour permettre au plus grand nombre de découvrir toute la joie d’une rencontre avec le Christ !

Dans chaque paroisse, une personne chargée des inscriptions donnera tous les renseignements pratiques concernant l’inscription de l’enfant, et la manière dont est proposée la catéchèse (jours, lieux, horaires, etc.)

 

Trouver ma paroisse :

 

 

 

 

 

La catéchèse à tous les âges de la vie : En savoir + ?
C'est ici

http://catholique-agen.cef.fr/extranet/site/005.html

Le service diocésain de catéchèse : en savoir + ?
C'est ici

http://catholique-agen.cef.fr/extranet/site/050.html

Je ne suis pas baptisé,
Je n’ai pas fait ma première communion,
Je ne suis pas confirmé…

Il est possible de se préparer à ces sacrements à n’importe quel âge !

Le catéchuménat , en savoir + ?
C'est ici

http://catholique-agen.cef.fr/extranet/site/051.html

C'est la rentrée !
C'est la rentrée !
C'est la rentrée !
C'est la rentrée !

Trouver ma paroisse ? liste alphabétique des communes
C'est ici

http://catholique-agen.cef.fr/extranet/site/1478.html

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Publié par paroisses
15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 20:46

Le Groupe Mater Dei à Foulayronnes

Glorious      Notre Père   "Abba père"

Les groupes MaterDei et Glorious ont ouvert ce samedi 11 avril les Rencontres d'artistes organisées par le diocèse.

Rock catho à Foulayronnes

Un temps fort vécu entre jeunes et moins jeunes
qui se sont laissés porter par des voix, des musiques,
des mots, des danses, des gestes, des messages, ...

 

Merci à celles et ceux qui ont osé,
qui ont permis cette soirée
si différente, unique et riche.

Rock catho à Foulayronnes
Rock catho à FoulayronnesRock catho à Foulayronnes

"Mater Dei est un groupe rock chrétien
dont les 4 membres sont Lot et Garonnais.
Né le 21 juin 2014 pour la fête de la musique
à Villeneuve sur Lot, le groupe a depuis donné
différents concerts en Lot et Garonne et animent
régulièrement des messes dans le villeneuvois, l'agenais..."

Rock catho à Foulayronnes
Rock catho à FoulayronnesRock catho à Foulayronnes

« Glorious est l’expression d’une jeunesse
qui donne tout son coeur et toute sa vie à Dieu.
Il s’agit de personnes ordinaires qui servent
un Dieu extraordinaire et qui se rassemblent
pour glorifier le Nom de Jésus ».

Photos de Joshua, le technicien son de Glorious, de Anne-Marie Maxant et Michel Olivié

762 personnes ont vibré avec MaterDei et Glorious762 personnes ont vibré avec MaterDei et Glorious
762 personnes ont vibré avec MaterDei et Glorious
762 personnes ont vibré avec MaterDei et Glorious762 personnes ont vibré avec MaterDei et Glorious

762 personnes ont vibré avec MaterDei et Glorious

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Publié par Jean-Philippe - dans Carême-Pâques
1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 13:07
Pâques et la Semaine Sainte
Pâques et la Semaine Sainte

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JEUDI SAINT : OFFICE DE LA CÈNE

 

 

"Aimons-nous les uns les autres puisque l'amour est de Dieu" chantent les fidèles.
En l'abbaye de Sylvanès, ils célèbrent l'institution de l'eucharistie qui fonde l'Eglise, eucharistie qui est pain de vie pour ceux qui croient comme l'organiste Cécile- Collin-Paris.

Une catéchèse contée par André Gouzes.

Jeudi saint : office de la Cène

VENDREDI SAINT : OFFICE DE LA CROIX ET DE LA PASSION

 

 

"Oh Dieu immortel, prends pitié de nous" chantent les fidèles de l'abbaye de Sylvanès qui vénèrent en la croix de Christ l'étendard de la mort vaincue.
A la catéchèse contée par André Gouzes répond le témoignage de l'organiste Cécile Collin-Paris qui a traversé la souffrance de Marie à la mort de son Fils.

Vendredi saint : office de la Croix et de la Passion

SAMEDI SAINT : VEILLÉE PASCALE

 

 

"Dieu dit que la lumière soit et que naisse le jour".
En ce soir de Résurrection, les fidèles de l'abbaye de Sylvanès chantent la Création. A la catéchèse contée par André Gouzes répond le témoignage de l'organiste Cécile Collin-Paris : par la grâce de sa foi, elle est passée des Ténèbres à la lumière de l'Espérance.

Samedi saint : veillée pascale

LA NUIT DE PÂQUES : LE PASSAGE DE LA MORT À LA VIE

 

 

Rétablie par Pie XII dans les années cinquante, la vigile pascale nous est contée par le frère dominicain André Gouzes depuis l'abbaye de Sylvanès qu'il a contribuée à fait revivre.
Autour d'un feu puis dans une église russe où il décrypte l'icône de l'Anastasis, André Gouzes nous initie à la liturgie de la nuit pascale et à la symbolique de la résurrection.

La nuit de Pâques : Le passage de la mort à la vie

DANS LA LUMIÈRE DE PÂQUES

 

 

Le peintre Arcabas commente son polyptique "Passion-Résurrection", une oeuvre entre art abstrait et art figuratif inspirée par l'Evangile. Les couleurs et les cadrages cinématographiques de ses toiles composent une grammaire plastique qui invite à la méditation et à suivre l'appel de Dieu à être ses Fils.

Arcabas : Dans la lumière de Pâques

LES SIGNES DE LA VICTOIRE DE LA VIE SUR LA MORT

 

 

Le frère dominicain Timothy Radcliffe adresse aux retraitants de la "Retraite dans la Ville" sa lecture de l'évangile de Jésus-Christ selon saint Jean, proclamée le jour de Pâques. Au tombeau vide, Jean ne comprend pas seulement qu'un mort est redevenu vivant, mais il réalise quelque chose de beaucoup plus important ...

Une invitation pour nous chrétiens à offrir les signes de la résurrection à ceux qui désespèrent.

 

Les signes de la victoire de la vie sur la mort


Bonnes fêtes de Pâques à chacune et chacun

Pâques et la Semaine Sainte
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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 16:56
Le pape François appelle à vivre le Carême dans la vérité du coeur

Le Pape François lors de la messe de ce 20 février - OSS_ROM

 

Lors de la messe qu'il a célébrée ce vendredi 20 février en la chapelle de la résidence Sainte-Marthe, le Pape François a insisté sur l'effort de cohérence que chaque chrétien doit entreprendre dans le temps du Carême.

Ne pas utiliser Dieu pour masquer les injustices

Les chrétiens, spécialement pendant la période du Carême, sont appelés à vivre de façon cohérente l’amour pour Dieu et l’amour pour le prochain. C’est un des passages clefs de l’homélie de la messe que le Pape François a célébrée ce vendredi matin en la chapelle Sainte-Marthe. Le Pape a mis en garde contre celui qui envoie un chèque à l’Église et qui ensuite, se comporte injustement avec ses employés.

Le peuple proteste devant le Seigneur parce qu’il n’écoute pas leurs jeûnes. Le Pape François a commencé sa méditation en partant du passage d’Isaïe dans la première lecture. Et ensuite, il a souligné qu’il faut opérer une distinction entre le « formel et le réel ». Pour le Seigneur, a-t-il observé, « il ne s’agit pas de faire le jeûne, de ne pas manger de viande » et ensuite de « se disputer et exploiter les ouvriers ». Voilà pourquoi Jésus a condamné les pharisiens qui accomplissaient « tant d’actes extérieurs mais sans la vérité du cœur ».

L’amour pour Dieu et pour son prochain sont unis

Au contraire, le jeûne que désire Jésus est celui qui défait les chaînes injustes, qui libère les opprimés, qui habille les pauvres, qui fait justice. « Ceci, a répété le Pape, est le vrai jeûne, le jeûne qui n’est pas seulement extérieur, comme une application externe, mais c’est un jeûne qui vient du cœur ».

« Sur les Tables de la loi, il y a la loi sur Dieu et la loi sur le prochain et tous deux vont ensemble. Je ne peux pas dire : « J’accomplis les trois premiers commandements…et les autres, plus ou moins. Non, si tu fais ceci, tu ne peux pas faire cela et si tu fais cela, tu dois faire ceci. Ils sont unis : l’amour pour Dieu et l’amour du prochain sont une unité et si tu veux faire une pénitence qui soit réelle et non formelle, tu dois la faire devant Dieu et avec ton frère, avec ton prochain ».

C’est un grave péché que d’utiliser Dieu pour masquer l’injustice

« On peut avoir la foi, a-t-il poursuivi, mais- comme le dit l’apôtre Jacques- « sans œuvres, la foi est comme morte. A quoi cela sert-il ? Ainsi, si une personne assiste à la messe tous les dimanches et communie, on peut lui poser les questions suivantes : « Quel est ton rapport avec tes employés ? Les paies-tu en noir ? Leur paies-tu un juste salaire ? Leur verses-tu une contribution pour leur pension ? Pour leur assurer les soins de santé ? » 

« Combien sont les hommes et les femmes de foi, qui ont la foi mais qui ne partagent pas les Tables de la loi : « Oui, je fais cela »- Mais donnes-tu l’aumône ?- Oui, j’envoie toujours un chèque à l’Église- Ah, d’accord. Mais avec ton Église, chez toi, avec ceux qui dépendent de toi- que ce soit tes enfants, tes grands-parents, tes employés- es-tu généreux ? Es-tu juste ? Tu ne peux pas faire d’offres à l’Église pour camoufler l’injustice que tu accomplis avec tes employés. C’est un péché très grave : c’est utiliser Dieu pour masquer l’injustice ».

« Et ça, a t’il repris, c’est ce que le prophète Isaïe nous fait comprendre aujourd’hui au nom du Seigneur”: “Celui qui ne fait pas justice avec les personnes qui dépendent de lui n’est pas un bon chrétien”. Et n’est pas un bon chrétien, ajoute t’il,  celui qui ne se défait pas de quelque chose qui lui est nécessaire pour le donner à un autre qui en a besoin ». Le chemin de Carême, a-t-il encore dit, « est double, envers Dieu et envers le prochain : c’est-à-dire qu’il est réel et pas seulement formel. Ce n’est pas seulement ne pas manger de viande le vendredi, faire quelque chose et puis, accroître l’égoïsme, l’exploitation du prochain, l’ignorance des pauvres ». Il y a celui qui, raconte le Pape, s’il a besoin de se soigner, se rend à l’hôpital et comme il est affilié à une mutuelle, il est tout de suite visité. « C’est une bonne chose, a commenté le Pape, il remercie le Seigneur. Mais, dis-moi, as-tu pensé à ceux qui n’ont pas ce même rapport social avec l’hôpital et que lorsqu’ils arrivent, ils doivent attendre 6, 7 ou 8 heures, même pour quelque chose d’urgent. »

Pendant le Carême, nous faisons place dans notre cœur pour celui qui a commis une faute

Il y a des personnes, à Rome, a-t-il averti, qui vivent ainsi et le Carême est le moment « pour penser à eux : que puis-je faire pour les enfants, pour les personnes âgées qui n’ont pas la possibilité d’être visitées par un médecin », qui attendent peut-être « huit heures et ensuite, obtiennent un rendez-vous pour la semaine prochaine ». « Que fais-tu pour ces personnes ? »  demande le Pape François. « Grâce à Dieu, j’ai une famille qui accomplit les commandements, qui n’ont pas de problèmes… »  « Mais en cette période de Carême, demande encore le Pape, il y a-t-il dans ton cœur un endroit pour ceux qui n’ont pas accompli les commandements ? Qui ont mal agi et sont en prison ? » :

« Non, pas ces personnes… Mais lui se trouve en prison : si tu n’es pas en prison, c’est parce que le Seigneur t’a aidé à ne pas tomber. Dans ton cœur, les prisonniers ont-ils une place ? Pries-tu pour eux afin que le Seigneur les aide à changer de vie ? Accompagne, Seigneur, notre chemin de Carême pour que l’observation extérieure corresponde à un profond renouvellement de l’Esprit. Voilà notre prière. Que le Seigneur nous donne cette grâce »

Source : RadioVatican 2015

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Publié par paroisses - dans carême
6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 15:25

Le Synode des évêques autour du pape François, à Rome, en octobre dernier, est un encouragement et un message d’espérance donnés à toutes les familles du monde entier.

Noël, est pour moi, l’occasion de reprendre le formidable dynamisme suscité par ce Synode. Je voudrais dire combien les familles sont présentes dans ma prière et mes préoccupations d’évêque.

Les familles traversent de nombreuses difficultés économiques en raison du chômage. Elles connaissent des problèmes affectifs lorsque surviennent séparation et divorce.
Les épreuves de santé s’ajoutent à ceux de l’immigration ou de l’exclusion.
L’intégration dans la société française est parfois insurmontable.

 

L’Église se doit d’accompagner ces familles en grande fragilité et précarité. Je fais miennes ces mots du Rapport final du Synode : « Conformément au regard miséricordieux de Jésus, l'Église doit accompagner avec attention et sollicitude ses enfants les plus fragiles, qui portent les marques de l'amour blessé et perdu, en leur redonnant la confiance et l'espérance, comme la lumière du phare dans un port ou celle d'un flambeau tenu au milieu de la foule pour éclairer ceux qui ont fait fausse route ou se trouvent en pleine tempête (...) L'amour miséricordieux, attire et unit, et ainsi transforme et élève. Il invite à la conversion » (n°28).

 

L’Église sait aussi qu’une famille stable est une véritable « école d’humanité ». On y apprend à vivre ensemble, à surmonter les conflits, à s’entraider. La famille est le lieu où chacun regarde avec confiance l’avenir. Je souhaite que la famille, cellule de base de la société, trouve paix et sérénité dans notre pays. La réalité socio-économique est parfois écrasante pour les familles. Souvent, les familles ont le sentiment que les institutions se désintéressent de leurs difficultés. « Il est pourtant de la responsabilité de l’État, dit encore le Rapport final du Synode, de créer les conditions législatives et de travail permettant de garantir l’avenir des jeunes et de les aider à réaliser le projet qu’ils ont de fonder une famille » (n° 6).

La période de Noël et du Nouvel an est propice aux rencontres familiales. Que l’attention portée aux enfants à travers les cadeaux soit la marque d’une véritable tendresse ! Que la présence des anciens soit honorée comme il se doit. Nous avons tellement à recevoir de leur sagesse !

 

 

Noël, c’est la fête d’un enfant, au sein d’une famille pauvre mais confiante en l’avenir. Cet enfant, c’est Jésus notre Sauveur, l’envoyé de Dieu. Que la visite à la crèche de notre église soit l’occasion de prier pour nos familles. Que Marie, la mère de Jésus, soit invoquée par les familles et par le peuple chrétien ! Dans sa sensibilité maternelle, elle saura porter au Christ nos demandes.

Bon Noël à tous et bonne année 2015 !

Agen, le 30 novembre 2014

 

…Hubert HERBRETEAU

Évêque d’Agen

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Publié par paroisses - dans Noël